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[2AI Strasbourg] Portrait d’anciens : Pierre Marc, co-fondateur de l'Atelier Lien d'Horizon
27 mars 2020
Portraits d'Anciens
Pierre Marc, diplômé de la promo 2015 de l’ISEG Strasbourg, nous a accordé une interview sur son rôle de co-fondateur au sein de l'Atelier Lien d'Horizon.

Quelle est votre fonction ?
Je suis co-fondateur de l’entreprise Atelier Lien d’Horizon (dont le lancement sera mis en place durant la période été-automne 2020) mais je suis également Responsable Marketing du projet ÜTE (le lancement sera au printemps-été 2020). Comme vous pouvez l'imaginer, les lancements ont été repoussés à cause de la situation actuelle !

Je développe donc, avec ma compagne Maud Mettetal, des projets de Nano-Habitats (espaces de moins de 50m² en bois), le but étant de proposer des espaces pour les particuliers (de vie ou de loisirs) ou les professionnels (ateliers ou espaces de vente) qui permettent un usage confortable dans un espace bien pensé et design, le tout en offrant une méthode de production locale qui respecte l’environnement et l’humain et à des tarifs plus compétitifs que la construction traditionnelle.
Quelle est votre actualité professionnelle ?
Je suis donc en train de créer une entreprise Atelier Lien d’Horizon, cette entreprise est spécialisée dans la conception de Nano-Habitats écologique, responsables et produits localement, actuellement je suis surtout sur la partie administrative du projet.
Je développe commercialement le Projet ÜTE (une gamme de nano-habitats développée en partenariat avec deux autres entreprises SOLLER SARL et JCBA SARL) auquel contribue Atelier Lien d’Horizon
Ce projet est déjà bien avancé avec des pré-commandes pour de nombreux institutionnels comme le parc naturel régional des Vosges du nord ainsi que pour des particuliers. L’ouverture officielle du carnet de commande sera annoncée peu de temps après la levée du confinement. Après un lancement officiel prévu en mai qui a été annulé.
En quoi votre fonction actuelle vous apporte-t-elle de la satisfaction au quotidien ?
Tout d’abord, je suis heureux d’être aux manettes d’un projet que je partage avec ma compagne qui est architecte. Chaque jour, je sais que j’œuvre pour la diffusion des valeurs qui me tiennent à cœur : l’écologie et une économie plus circulaire et responsable. Ces deux points m’apportent satisfaction et motivation au quotidien.
Quelles ont été vos plus grandes difficultés professionnelles et comment les avez-vous surmontées ?
Ma plus grande difficulté professionnelle a été de quitter mon poste de responsable marketing dans une start up pour prendre conscience que JE DEVAIS trouver un post en adéquation forte avec l’écologie et la responsabilité sociale des entreprises.
Je suis encore en train de surmonter cette difficulté puisque je crée actuellement l’entreprise qui doit répondre à ces critères (même si je commence à en voir le bout) mais c’est déjà extrêmement gratifiant ! Mon autre difficulté actuelle est d’arriver dans un milieu que je ne connais pas (celui de la construction) et où j’ai tout à apprendre. Mais en s’entourant des bonnes personnes et avec de la bienveillance, j’apprendrai.
Comment arrivez-vous à gérer cette période de confinement sur le plan professionnel ?
Je travaillais déjà à la maison depuis plusieurs mois donc ça m’affecte assez peu même avec beaucoup de rendez-vous à l’extérieur. Habituellement, je privilégie les visio-conférences pour mes échanges. Je maitrisais déjà beaucoup d’outils de travail à distance grâce à mon expérience dans la tech. Le plus difficile, c’est que les interlocuteurs s’approprient les outils dans un délai réduit.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants pour trouver leur voie professionnelle ?
Concernant les conseils j’en ai 2 à donner aux étudiants.
Le premier : je vous conseille de mettre à profit vos années d’études à l’ISEG pour faire un maximum de stages et de changer d’entreprise chaque année. C’est en essayant qu’on trouve chaussure à son pied, ou plutôt qu’on découvre ce qu’on ne veut pas faire.
Le deuxième conseil c’est celui que j’ai moi-même appris récemment, c’est d’être à l’écoute de nos valeurs profondes, si vous ne trouvez pas d’option professionnelle qui vous convienne : créez la vôtre, trouvez le sujet qui vous touche, trouvez la bonne échelle d’action : celle qui vous permet d’avoir un impact concret et mesurable, plutôt que de vouloir changer la planète entière avec des effets mitigés. Lancez-vous !
Peut-être que votre voie se trouve moins loin que vous ne le pensez !
Merci à Pierre Marc pour ces réponses !

Quelle est votre fonction ?
Je suis co-fondateur de l’entreprise Atelier Lien d’Horizon (dont le lancement sera mis en place durant la période été-automne 2020) mais je suis également Responsable Marketing du projet ÜTE (le lancement sera au printemps-été 2020). Comme vous pouvez l'imaginer, les lancements ont été repoussés à cause de la situation actuelle !

Je développe donc, avec ma compagne Maud Mettetal, des projets de Nano-Habitats (espaces de moins de 50m² en bois), le but étant de proposer des espaces pour les particuliers (de vie ou de loisirs) ou les professionnels (ateliers ou espaces de vente) qui permettent un usage confortable dans un espace bien pensé et design, le tout en offrant une méthode de production locale qui respecte l’environnement et l’humain et à des tarifs plus compétitifs que la construction traditionnelle.
Quelle est votre actualité professionnelle ?
Je suis donc en train de créer une entreprise Atelier Lien d’Horizon, cette entreprise est spécialisée dans la conception de Nano-Habitats écologique, responsables et produits localement, actuellement je suis surtout sur la partie administrative du projet.
Je développe commercialement le Projet ÜTE (une gamme de nano-habitats développée en partenariat avec deux autres entreprises SOLLER SARL et JCBA SARL) auquel contribue Atelier Lien d’Horizon
Ce projet est déjà bien avancé avec des pré-commandes pour de nombreux institutionnels comme le parc naturel régional des Vosges du nord ainsi que pour des particuliers. L’ouverture officielle du carnet de commande sera annoncée peu de temps après la levée du confinement. Après un lancement officiel prévu en mai qui a été annulé.
En quoi votre fonction actuelle vous apporte-t-elle de la satisfaction au quotidien ?
Tout d’abord, je suis heureux d’être aux manettes d’un projet que je partage avec ma compagne qui est architecte. Chaque jour, je sais que j’œuvre pour la diffusion des valeurs qui me tiennent à cœur : l’écologie et une économie plus circulaire et responsable. Ces deux points m’apportent satisfaction et motivation au quotidien.
Quelles ont été vos plus grandes difficultés professionnelles et comment les avez-vous surmontées ?
Ma plus grande difficulté professionnelle a été de quitter mon poste de responsable marketing dans une start up pour prendre conscience que JE DEVAIS trouver un post en adéquation forte avec l’écologie et la responsabilité sociale des entreprises.
Je suis encore en train de surmonter cette difficulté puisque je crée actuellement l’entreprise qui doit répondre à ces critères (même si je commence à en voir le bout) mais c’est déjà extrêmement gratifiant ! Mon autre difficulté actuelle est d’arriver dans un milieu que je ne connais pas (celui de la construction) et où j’ai tout à apprendre. Mais en s’entourant des bonnes personnes et avec de la bienveillance, j’apprendrai.
Comment arrivez-vous à gérer cette période de confinement sur le plan professionnel ?
Je travaillais déjà à la maison depuis plusieurs mois donc ça m’affecte assez peu même avec beaucoup de rendez-vous à l’extérieur. Habituellement, je privilégie les visio-conférences pour mes échanges. Je maitrisais déjà beaucoup d’outils de travail à distance grâce à mon expérience dans la tech. Le plus difficile, c’est que les interlocuteurs s’approprient les outils dans un délai réduit.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants pour trouver leur voie professionnelle ?
Concernant les conseils j’en ai 2 à donner aux étudiants.
Le premier : je vous conseille de mettre à profit vos années d’études à l’ISEG pour faire un maximum de stages et de changer d’entreprise chaque année. C’est en essayant qu’on trouve chaussure à son pied, ou plutôt qu’on découvre ce qu’on ne veut pas faire.
Le deuxième conseil c’est celui que j’ai moi-même appris récemment, c’est d’être à l’écoute de nos valeurs profondes, si vous ne trouvez pas d’option professionnelle qui vous convienne : créez la vôtre, trouvez le sujet qui vous touche, trouvez la bonne échelle d’action : celle qui vous permet d’avoir un impact concret et mesurable, plutôt que de vouloir changer la planète entière avec des effets mitigés. Lancez-vous !
Peut-être que votre voie se trouve moins loin que vous ne le pensez !
Merci à Pierre Marc pour ces réponses !
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